Premier échange gratuit en visio
Stress avant le plot ? Temps qui chute en finale alors que l’entraînement est bon ? Blocage au départ, perte de rythme au milieu de course, frustration après chaque passage au mur ?
Nous faisons un point de 30 minutes en visio, sans engagement.
Objectif : comprendre ce qui se passe mentalement en compétition et voir comment stabiliser la performance.
Accompagnement possible pour les jeunes nageurs, les nageuses en filière compétition, et les nageurs adultes en recherche de performance.
Visio possible partout en France.
En natation, tout se joue sur quelques secondes.
Le nageur connaît ses allures, ses chronos d’entraînement, ses repères. Et pourtant, en course officielle, tout peut basculer très vite :
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départ retenu ou trop précipité sous la pression du plot,
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manque d’engagement sur les premiers mètres “par peur de ne pas tenir”,
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trou mental au milieu de course,
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perte du relâchement, crispation, et les temps s’effondrent,
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sortie de l’eau avec la sensation : “je sais que je vaux mieux que ça”.
 
Ce n’est pas uniquement un problème physique ou technique.
Très souvent, c’est un problème mental de gestion du stress, de confiance et de disponibilité au moment clé.
Le travail de préparation mentale en natation vise précisément cela :
rester lucide, engagé et relâché quand le chrono compte réellement.
Les difficultés mentales les plus fréquentes chez les nageurs
La pression du départ
Le plot concentre tout : regard des autres, enjeu du temps attendu, peur de décevoir. Certains nageurs partent trop “calmés”, d’autres explosent trop vite et ne tiennent pas la course.
Mentalement, le départ est souvent vécu comme un examen, pas comme une exécution.
Le décrochage en milieu de course
En série ou en finale, beaucoup décrivent un moment où “ça décroche dans la tête”.
Le rythme baisse, la crispation monte, la lucidité technique disparaît.
Le nageur a l’impression de subir la course au lieu de continuer à la piloter.
La difficulté à reproduire l’entraînement en compétition
À l’entraînement, les sensations sont bonnes.
En compétition, les temps ne sortent pas.
Résultat : frustration, perte de confiance, doute qui s’installe (“je ne suis pas fait pour ça”, “je régresse”).
Le rapport au classement / aux sélections
Pression des minima, peur de ne pas être retenu(e), comparaison permanente avec les autres du groupe, peur de “se rater devant le coach”.
Cela rigidifie le nageur mentalement avant même le départ.
L’auto-critique permanente
Beaucoup de nageurs sortent de l’eau en colère contre eux-mêmes.
Problème : cette colère s’accumule au fil des compétitions et finit par peser sur l’envie.
Pourquoi ça arrive (et ce n’est pas un manque de sérieux
Ce que l’on observe en natation :
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La préparation est lourde, répétitive, souvent exigeante sur le volume.
Le nageur vit une forme d’usure mentale silencieuse.
Il/elle se sent obligé(e) de délivrer en compétition “pour justifier tout ce travail”. - 
Le chrono est public.
Tout le monde voit la performance, tout de suite.
Il n’y a pas de marge pour “cacher une petite baisse”. Cette exposition permanente génère une pression interne énorme. - 
En course, il n’y a pas d’échappatoire.
Pas de coach qui peut recadrer en live, pas de temps mort.
Si mentalement ça décroche au 75m ou au 200m, il faut se sauver seul(e). 
Ce n’est pas de la “faiblesse mentale”.
C’est le contexte même de la natation de haut engagement : exigences élevées, jugement immédiat, aucune micro-pause pour se recentrer.
C’est précisément pour ça que la préparation mentale est stratégique en natation.
Ce que nous travaillons en préparation mentale natation
Gestion du départ
Mettre en place un rituel pré-plot clair, pour transformer le départ en lancement maîtrisé, pas en moment de panique.
Objectif : entrer fort dans sa course au lieu de la subir dès le premier appui.
Maintien de l’engagement en milieu de course
Savoir rester présent techniquement et mentalement là où, d’habitude, ça décroche.
C’est le moment où beaucoup “lâchent inconsciemment” : on apprend à rester dedans.
Autorégulation émotionnelle après une course décevante
Sortir de l’eau sans basculer dans l’autodévalorisation.
Revenir sur l’analyse utile (respiration, coulées, relance) plutôt que sur “je suis nul”.
But : préserver la confiance pour la course suivante.
Préparation mentale avant les compétitions importantes
Arriver au départ avec un état interne stable, clair et exploitable : lucidité + engagement, sans surcontrôle.
Le but n’est pas de “se motiver à tout prix”. Le but est d’être capable de produire son vrai niveau le jour où le chrono compte.
Comment se déroule l’accompagnement en préparation mentale
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Échange initial (gratuit, 30 min en visio)
On identifie les situations où le mental lâche : départ stressé, trou en milieu de course, pression de sélection, difficulté à enchaîner les courses d’un meeting, etc. - 
Séances de travail ciblées
Chaque séance est construite sur des situations réelles : pas de théorie abstraite.
On met au point des routines mentales, des points d’ancrage respiration / posture / regard, et des scripts internes pour rester présent. - 
Application en compétition et à l’entraînement
L’objectif est que le nageur ou la nageuse sache quoi faire concrètement avant le plot, pendant la course, et après la course (quelle que soit la performance). - 
Ajustement avant les échéances clés
Avant une compétition importante, on peut réajuster l’outil mental pour sécuriser la stabilité émotionnelle le jour J. 
Important :
L’accompagnement peut se faire entièrement à distance (visio).
En présentiel, selon les disponibilités, un suivi sur zone Dunkerque est possible.
Pour comprendre plus largement ma démarche et la façon dont les séances sont structurées, vous pouvez consulter la page Services.
Pour connaître les formules et le cadre tarifaire, vous pouvez consulter la page Tarifs.
À qui s’adresse cet accompagnement
Jeune nageur / jeune nageuse en filière compétition
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Stress avant le départ
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Effondrement mental dès que le rythme baisse
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Difficulté à accepter un “mauvais chrono” sans se dévaloriser
Objectif : stabiliser émotionnellement, protéger l’envie, et permettre l’expression du niveau réel en course. 
Nageur / nageuse en performance adulte ou sénior
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Objectif de sélection, minima, podium régional / national
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Chronos solides à l’entraînement mais irréguliers en compétition
Objectif : régularité mentale en conditions d’enjeu. 
Parent / encadrement
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Comment soutenir sans accroître la pression
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Comment parler après une course sans alimenter la colère ou l’auto-critique
Ici, le but est d’aider l’environnement à devenir un appui, pas un poids supplémentaire. 
Étape suivante
Voici comment démarrer :
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Nous planifions un premier échange gratuit de 30 minutes en visio.
Cet échange permet de clarifier le besoin (stress avant le plot, perte d’engagement sur la course, confiance, régularité en compétition…). - 
Je vous présente le cadre d’accompagnement le plus adapté au profil (jeune nageur, nageuse confirmée, objectif de sélection, etc.).
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Vous décidez si vous souhaitez démarrer.
 
Visio possible partout en France.
Présentiel ponctuel possible selon disponibilités en zone Dunkerque.
Je stresse énormément avant le départ. Est-ce que cela se travaille vraiment ?
Oui. Le départ en natation concentre la pression du chrono, le regard des autres et la peur de décevoir. On met en place un rituel pré-plot clair (respiration, focalisation, script interne) pour transformer ce moment en lancement maîtrisé plutôt qu’en pic de panique.
Le nageur·se nage mieux à l’entraînement qu’en compétition. C’est mental ?
Très souvent, oui. En compétition, il y a la pression du temps “officiel”, la comparaison immédiate et parfois l’enjeu de sélection. Le corps sait nager, mais le mental se crispe. L’objectif de la préparation mentale est d’aider l’athlète à reproduire son niveau réel le jour où cela compte.
Est-ce adapté pour un jeune nageur ou une jeune nageuse ?
Oui. L’accompagnement peut intégrer le parent (ou l’entraîneur référent) comme relais. Le but est de stabiliser le comportement en compétition – éviter l’effondrement mental après une course, la colère, ou la perte d’envie – sans ajouter de pression supplémentaire.
Est-ce possible uniquement en visio ?
Oui. L’accompagnement peut se faire entièrement à distance, en visio. Avant une compétition importante, un ajustement spécifique peut être fait pour préparer l’état mental de course. Un suivi ponctuel en présentiel peut être envisagé sur la zone Dunkerque selon les disponibilités.